La mondialisation : le commerce
Ce texte explique le fonctionnement du commerce à l’échelle mondiale dans le dernier siècle, commerce qui a porté une croissance chaque fois plus accentuée dans les dernières décennies et répond à d’autres importantes questions comme, pourquoi certaines relations commerciales se produisaient, où elles étaient effectués et parce qu’et le plus important, les conséquences, plus importante celle qui nous conduit à la mondialisation de l’économie.
L’Europe a commencé le siècle à dominer le monde et le commerce, mais les deux guerres mondiales déplacent cette position aux Etats-Unis. Juste après ces guerres, on signe le GATT qui permet le libre commerce, porté par les Etats-Unis parce qu’il lui intéresse pour être vu non touché par une autre importante crise. Depuis la seconde guerre mondiale, la croissance des échanges internationaux a largement dépassé la croissance économique, c’est-à-dire la croissance de la production. Globalement les exportations progressent plus vite que la production, leur taux de progression représente plus du double de la croissance de la production. L’importance du commerce mondial est tel qu’en politique internationale, les etats tentent souvent de soumettre les pays par le biais d’embargos commerciaux (Irak, Lybie etc.). Entre les biens échangés un changement s’est produit, les matières premières étaient le centre des échanges internationaux avant la seconde guerre mondiale et est mises à occuper ce poste les biens industriels, qui se caractérisent de d’être échangés entre des filiales de du FMI distribuées par tout le monde. Une autre importante caractéristique est que le commerce mondial est polarisé en Europe, les Etats-Unis et le Japon.
D’autre part, différentes théories ont été débattues sur les principes de la mondialisation. D’abord, les théories neoclasicas pensaient la spécialisation des productions industrielles, qu’il produit complémentarité entre les économies, de telle sorte que les productions dépendent des facteurs initiaux : la production, le travail et le capital. Plus tard, Leontieff contredisait cette théorie en étant demandé parce que les Etats-Unis importait des biens intensifs en main d’oeuvre et exportait des biens intensifs en capital. Une réponse possible était par l’existence de main d’oeuvre qualifiée aux Etats-Unis. Perroux avait une autre théorie : les pôles de croissance, il croit que les relations centre-périphérie ont un effet positif sur les pays moins développés. D’autre part, Myrdal, avec la théorie de l’occasion circulaire, croit que la conséquence est un plus grand déséquilibre. Par conséquent, le commerce de biens industriels on lui applique mieux le principe de la concurrence parce que les entreprises chaque fois plus cherchent obtenir les économies d’échelle et ainsi croître sur ce marché, il arrête à la fin arriver à une situation de monopole.
Les investissements sur la production ont eu une importante évolution sur le siècle XX. Ils commencent réellement à avoir une importante croissance à partir des 80 grâce au grand développement des marchés internationaux de capitaux qui permettent une plus grande mobilité. Mais il y a une concentration de ces investissements principalement en Europe, aux Etats-Unis et le Japon. Les conséquences plus importantes des échanges commerciaux sont : diffusion de la connaissance et des valeurs du pays origine, universalisation de comportements et techniques et d’autres aspects. Les raisons de l’augmentation des investissements sont : accès facile les marchés, la diminution des risques, les différences salariales et la rentabilité des recherches.
Les FMN sont firmes multinationales ou globales : Les firmes multinationales produisent sur plusieurs marchés nationaux des biens adaptés, les filiales sont ainsi des centres de profits indépendants sans relations entre elles, elles dépendent uniquement la maison mère selon une organisation hiérarchique et pyramidale. La firme globale uniformise ses produits, ses filiales sont ainsi spécialisées selon les avantages comparatifs dans l’un des composants des produits finis et entretiennent donc des relations étroites coordonnées par la maison-mère. Beaucoup FMN sont des monopoleurs et ils ont été développés grâce à l’utilisation des communications pour obtenir des économies d’échelle. Apparaissent dernièrement des pressions sur elles, pour qu’ils résolvent des problèmes sociaux et environnementaux, et ils doivent l’effectuer pour assurer leur futur.
Selon le moment de l’histoire, il y a différents systèmes d’accumulation, un très important a été le fordisme après la seconde guerre mondiale, et il est maintenant le post-fordisme avec d’autres caractéristiques adéquates à l’actualité. Il a été développé traditionnellement avec une situation de flexibilité et un état de dérèglement, avec des entreprises privées en entrant dans des secteurs publics. Suite à ceci, on intensifie deux aspects: la metropolisation de l’économie, en se concentrant ainsi le développement des villes où il y a main d’oeuvre de tout type, marchés commerciaux étendus et financiers et importants réseaux de communications et d’autre part, la conversion du capitalisme dans un capitalisme de réseaux, c’est-à-dire, différents réseaux qui organisent l’économie par le biais de fournisseurs, d’utilisateurs, serveurs et clients.
La mondialisation semble être une réalité : extension des échanges, multiplication des investissements directs à l’étranger et développement des firmes multinationales, élévation du nombre de capitaux spéculatifs en circulation etc. Les progrès réalisés en termes de communication, de transports, les déréglementations étatiques ont entraîné la disparition des frontières et uniformisé les comportements de consommation et de production. Toutefois, les barrières douanières n’ont pas disparu à cause du le régionalisme et les subventions accordées par les pays les plus riches à certains secteurs, affectent la mondialisation.
Juan Antonio Corbalán Liarte
Article rédigé dans le cadre du cours de Géographie Économique du BScM spécialisé dans le commerce international de l’École Supérieure de Commerce de Montpellier (Erasmus).