Jésus-Christ et les débuts du christianisme
Jésus, dont le nom signifie « Dieu sauve », s’est présenté au cours de sa prédication comme le continuateur de Moise, est le personnage central du christianisme ; il est considéré par les chrétiens comme le Messie et le Fils de Dieu. Selon les Évangiles, Jésus est né dans le village de Bethléem. Le recensement des populations sous occupation romaine ayant été ordonné par un édit de César Auguste, Marie, mère de Jésus, et son époux Joseph, furent contraints de rejoindre leur village d’origine.
Jésus n’a rien écrit mais son œuvre est dans les Évangiles que signifie « bonne nouvelle ». Les Évangiles de Marc, de Matthieu et de Luc sont synoptiques parce que, mis en parallèle, ils font apparaître de nombreuses concordances entre eux. Mais toutefois le quatrième de Jean est diffèrent et il est plus doctrinal par l’inspiration et par le présentation des événements. Selon les spécialistes le naissance de Jésus a lieu durant la dernière année du règne de Hérode le Grand, soit 4 ou 7 ans avant l’ère qui porte son nom, et mort à Jérusalem en l’an 30 ou 33, crucifié sous le mandat du procurateur Ponce Pilate.
Il y a aussi d’autres importantes sources indépendamment des Évangiles, comme les manuscrits de la mer morte qui contiennent cent quarante paroles Jésus. Selon les Évangiles, Jésus entame son activité publique être baptisé par Jean dans la rivière sacrée Jordan. Il commence à transmettre le message en Galilée, ensuite Judée ou il eut un très grand succès, enseignant dans les synagogues et en agissant des miracles. Et un fait très important a été l’entrée triomphale à Jérusalem en provoquant critiques dans beaucoup de personnes puissantes. En ce moment s’est produit un fait très important, a été la séparation du judaïsme en affirmant que Jésus n’était pas le Messie qu’ils attendaient. Une de ses phrases plus importantes a été : « Mon royaume n’est pas de ce monde ».
Mais peu plus tard, Jésus a été capturé par les troupes Romains et a été crucifié. Trois jours ensuite, le dimanche de Paques, ses disciples se il devant tombeau vide, c’est la résurrection de Jésus et l’Eglise primitive explique que c’est la transfiguration et la sublimation d’un corps, et ce fait est devenue jusqu’à nos jours la pierre angulaire de la foi chrétienne.
Plus tard, commencerait l’expansion des idées du christianisme, et nous avons des données d’abord grâce à un livre : les Actes des apôtres. Ils se divisent en deux parties : la première, centrée sur Pierre, a pour cadre Jérusalem, la Judée et la Syrie et la seconde relate la carrière missionnaire de Paul jusqu’à Rome. La première communauté chrétienne de l’histoire est de Jérusalem et il a été constitué par Jésus avec le choix de douze hommes, qu’on appela « envoyes » et ce chiffre rappelant symboliquement les douze tribus d’Israël.
Pour les chrétiens, l’Église prend naissance le jour de la Pentecôte avec la diffusion de l’Esprit Saint. L’accroissement rapide de la communauté des disciples à créer dans celle-ci un minimum d’organisation et postérieurement le premier problème qui se posa à l’Eglise naissante fut de se constituer en tant que réalité religieuse séparée du judaïsme. D’autre part, il y a une personne très importante pour la diffusion du christianisme ; c’est Paul qui a effectué quatre voyages par tout l’empire romain, en créant beaucoup de communautés jusqu’à ce qu’il ait été capturé, parce que ses actions étaient interdites et il a été finalement condamné à mort. Paul consolide les Églises en Asie Mineure et en Grèce. Il écrivit à ces églises des épîtres qui constituent une véritable somme (on a conservé de lui treize). Ces missions étaient pleines de dangers et de difficultés qu’il a évoqués dans sa seconde lettre aux Corinthiens.
Comme apparaissaient les premières communautés chrétiennes à Rome surtout, a commencé une étape de persécutions contre elles. La première importante persécution a été effectuée par Néron en l’année 64. Les communautés chrétiennes ont eu toujours des temps difficiles et les ont dû être dissimulées, et n’utilisaient pas les catacombes comme lieux de culte comme ont été associées. Une autre importante persécution a été effectuée en 180 par Marc Aurèle.
Années plus tard, souligne l’empereur romain Constantin par la proclamation en 313 de l’édit de Milan ; l’édit de Milan proclame la liberté religieuse, supprimant toutes les restrictions imposées au culte et permettant une nouvelle vie aux chrétiens persécutes.
Juan Antonio Corbalán Liarte
Article rédigé dans le cadre du cours de Histoire des religions du BScM spécialisé dans le commerce international de l’École Supérieure de Commerce de Montpellier (Erasmus).